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![]() ce petit journal était réservé aux jeunes protecteurs (les grands avaient leur «Ami des Animaux»). ![]() de continuer d’offrir le PAA à un prix accessible à toutes les bourses. Les anciens, dont beaucoup nous sont restés fidèles, se souviennent sans doute encore des volières et du bassin libérateurs où les gens de Suisse et d’Europe, émus par l’appel d’Hermann Russ, venaient relâcher leurs oiseaux captifs. Ces installations n’existent plus de nos jours mais le PAA continue de faire passer le message du fondateur: la captivité, peut-être, mais pas à n’importe quel prix ! Depuis 1918, plusieurs rédacteurs se sont succédés. Dans les années 70, ce fut Tita, alias Mme Pierrette Bauer, artiste-peintre et grande protectrice des animaux. Elle donna au journal une image modernisée et le fit connaître dans les écoles comme outil de travail, tant pour les enseignants que pour les élèves. Pendant plusieurs années, les rédacteurs ont été Ernest et Christiane Duscher, photographes-naturalistes, passionnés de nature et d’animaux. Depuis janvier 2006, la rédaction a été reprise par ALIASgraphix, avec le soutien des membres du comité. ![]() en famille, entre les générations. Unique en son genre, le PAA résiste (tant bien que mal) à la concurrence, sans publicité, grâce au travail en partie bénévole de plusieurs personnes qui désirent que l’élan unique à l’époque, donné par Hermann Russ, demeure au fil des décennies. |